Melisande - Le 17 février 2017En 2010, la marque italienne MSGM fut sacrée meilleure révélation de l’année par « Who’s on next », un concours sponsorisé par Vogue Italie. Aujourd’hui encore, la marque continue de se distinguer, tant par son équipe jeune et motivée que par sa forte capacité à capter les tendances.
Une identité forte
MSGM, fruit d’un partenariat entre le designer Massimo Giorgetti et le groupe Paoloni, fait ses premiers pas dans la stratosphère mode en 2009. Proposant des collections hommes et femmes, la marque a une identité qui lui est propre. Cinq piliers la constituent. L’entreprenariat, une véritable passion pour la mode, un intérêt pour la musique indie, pour l’art contemporain et enfin l’expression créative de la nouvelle génération connectée au web.
À l’origine, MSGM voue une ambition à mixer tradition – avec un sentiment de détachement – et révolution du nouveau millénaire. Un mélange harmonieux entre le classique et le moderne. Avec des inspirations telles que Yves Saint Laurent, Coco Chanel ou bien encore Walter Albini, le designer déborde d’idées créatives et d’esprit iconoclaste.
Une première collection Printemps Eté 2010 gravée dans les mémoires
En effet, la toute première collection Printemps Eté 2010 fut extrêmement bien accueillie par le public et la presse internationale. Elle fut alors considérée comme l’une des meilleures collections émergentes de l’année. Massimo Giorgetti, tel un DJ, mixe sa passion avec l’expression esthétique et créative des artistes connectés au monde du web. C’est un véritable kaléidoscope de couleurs et de formes qui capte l’attention du public.
En choisissant de s’habiller en MSGM, les gens savent qu’ils s’expriment en toute liberté. Mais sans pour autant négliger leur touche de créativité personnelle.
C’est ainsi que depuis 2010, MSGM reste une marque des plus fascinantes.
MSGM est distribuée en Italie, notamment à Milan, Rome et Florence, mais aussi à l’international. Vous pouvez donc retrouver toutes les créations sur l’e-shop ou dans plus de 280 magasins à l’étranger.
