Benedikt Partenheimer, photographe née en 1977 à Munich en Allemagne est à l’origine de la série “Particule Matter”. Une manière pour elle de dénoncer le fait de soumettre nos vies ainsi que la beauté et la richesse de la terre à une simple exploitation des ressources.
La pollution se trouvant dans notre atmosphère se compose d’un certain nombre de particules y compris d’acides, de poussière, de produits chimiques organiques, de métaux et de particules de sol (poussière).
Cette série de photographies reflète les conséquences d’une croissance économique excessive.
La photographe attire l’attention sur la pollution atmosphérique, en montrant que certaines villes de Chine ont tendance à disparaitre sous des nuages de particules dangereuses.
Des études scientifiques ont montré que de nombreuses villes en Chine, mais aussi de par le monde, sont devenues dangereuse pour l’homme à cause d’une pollution atmosphérique trop concentrée.
Un rapport récent de l’Organisation Mondial de la Santé montre que la pollution de l’air tue jusqu’à 7 millions de personnes par an.
Cette série traite sur la situation plus qu’alarmante de la pollution de l’air causé par l’activité humaine. Benedikt illustre un système économique et politique qui défie toutes limites.
Toutes les photographies sont prises d’un point de vu assez élevé. L’objectif étant de souligner la visibilité réduite dans un espace toxique.
La photographe a choisi de donner à ses photographies des titres bien particulier, puisque ce sont des indices qui se réfèrent à l’AQI (Air Quality Index) et nous informe sur le degré de pollution dans l’air.
AQI’ 0-50 : Bonne
AQI’ 51-100 : Modérée
AQI’ 101 – 150 : Dangereuse pour la santé des groupes “sensibles”
AQI’ 151 – 200 : Dangereuses pour la santé
AQI’ 201 – 300 : Très Dangereuses pour la santé
AQI’ 301 – 500 : Extrêmement Dangereuses pour la santé
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