Reda M - Le 21 juin 2012
Si certains se servent encore de leur journal intime pour se confier, se vider l’esprit ou exprimer leurs sentiments, pour beaucoup d’autres, c’est via la photographie qu’ils ont trouvé compensation à ce besoin.
En effet, c’est en 2010 que Sabina Tabaković, jeune photographe autodidacte suédoise aux origines bosniaques, aujourd’hui âgée de 24 ans , décide de tirer davantage profit de la photographie en en faisant un moyen pour illustrer ses états d’esprit et s’évader dans ses mondes imaginaires et envoutants.
Sabina n’a pas trouvé sa vocation dans l’immédiat pourtant. Vers l’âge de 19 ans, elle commence à travailler dans les médias (Télévision précisément), période dans laquelle elle commence à prendre goût à la photo et réalise ses premiers clichés. Peu de temps plus tard, elle se fait repérer par une agence de mannequinat nommée Stockholmsgruppen pour exercer un métier de chasseuse de tête (c’est à elle que le monde de la mode doit Frida Gustavsson). Et c’est donc à partir de ce moment-là qu’elle commence à sérieusement développer sa technique pour mettre en valeur les mannequins qu’elle propose, à s’affirmer et à alimenter sa passion.
L’univers de Sabina mêle sensualité, mystère, sérénité et harmonie avec la nature. Cette dernière est une très grande romantique dans l’âme, elle prône tout ce qui est authentique, pure et spontané. A savoir aussi que Sabina ne prépare jamais ses shootings, elle se contentera d’appeler la première amie/collaboratrice mannequin qui se trouvera dans les parages et improvisera en fonction de son humeur et du matériel de bord. Sinon, elle s’adonne également souvent à l’autoportrait pendant ses heures perdues.
Pour le moment, le plus grand désir de Sabina serait de vivre dans une petite maison tranquillement près de la mer, faire de plus en plus de collaborations et si possible, sortir un ouvrage photographique dès qu’elle en aura l’occasion.
Son site et son blog ci-dessous pour plus d’informations :
