Erwan Manchec - Le 14 mai 2015
Bienvenue dans la ville de Rupert Vandervell. Ici tout est jeu de clair-obscur.
L’ombre portée dessine la rue comme dans un polar des années 50. La banalité citadine dans laquelle nous sommes plongés revêt un costume noir, illustrant à merveille l’atmosphère si particulière des rues de Londres à la tombée du jour.
Un marathon photographique, où les rencontres hasardeuses et parfois incongrues sont souvent synonyme de fiction. Focus sur ces oiseaux de nuits qui, cinq heures durant passent sous l’objectif de Vandervell.
Et il y en a plus sur www.rupertvandervell.co.uk
